Association internationale de développement – Banque mondiale
BÉNIN
  • De 2014 à 2018, 19790 jeunes sousemployés, dont 51,4 % de femmes, ont été formés pour acquérir des qualifications professionnelles et/ ou ont reçu des offres d’emploi ; 2991 jeunes ont reçu un Certificat de qualification professionnelle sanctionnant leurs compétences commerciales ; 14342 jeunes ont terminé une formation pour acquérir des compétences pratiques et des capacités utiles aux petits entrepreneurs, et 1069 maîtres artisans ont bénéficié d’une remise à niveau de leurs compétences.
BURKINA FASO
  • De 2013 à 2018, 52737 jeunes non scolarisés ont bénéficié d’un emploi temporaire et de possibilités de formation professionnelle. Dans les douze mois qui ont suivi la fin de la formation, 40,2 % ont trouvé un emploi ou se sont installés à leur compte ; 2,2 millions de journées de travail ont été créées, favorisant ainsi la remise en état de 63,4 kilomètres de routes rurales et 51,9 % de routes urbaines. En outre, 37812 jeunes ont eu accès à des emplois grâce à des travaux à forte intensité de main d’œuvre.
RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE
  • De 2016 à 2018, 37000 personnes, dont 27 % de femmes, ont bénéficié de la création de 100830 journées de travail temporaire. Au total, 57 conduites de drainage ont été construites et 25 remises en état ; 12 ponts ont été remis en état et 63 kilomètres de rigoles construites le long des voies.
COMORES
  • De 2015 à 2018, 4217 personnes, dont 68 % de femmes, ont tiré parti de programmes « salaire contre travail», « vivres contre travail» et de travaux publics. 
  • De 2015 à 2018, un programme visant à mettre en place des dispositifs de protection sociale a généré 641456 journées de travail, 69 communautés pauvres ont eu accès à des services de protection sociale et de nutrition, et 106 techniciens de santé ont été formés à l’alimentation des nourrissons et des jeunes enfants.

CÔTE D’IVOIRE

  • En 2018, 53489 jeunes ont eu accès à un programme de renforcement des aptitudes à l’emploi, contre 25422 en 2014. Dans les six mois qui ont suivi la fin de la formation, 62 % ont trouvé un emploi ou se sont installés à leur compte.
  • En 2018, 10 433 jeunes ont eu accès à un programme de renforcement des aptitudes à la création d’entreprises, contre 11248 en 2015. 92 % d’entre eux ont achevé la formation, contre 76 % en 2016. Dans les six mois qui ont suivi la fin de la formation, 52 % ont trouvé un emploi ou se sont installés à leur compte ; 14959 jeunes ont eu accès à un programme de renforcement des aptitudes à la création d’entreprises, contre 11248 en 2015
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BÉNIN
  • De 2014 à 2018, 19790 jeunes sousemployés, dont 51,4 % de femmes, ont été formés pour acquérir des qualifications professionnelles et/ ou ont reçu des offres d’emploi ; 2991 jeunes ont reçu un Certificat de qualification professionnelle sanctionnant leurs compétences commerciales ; 14342 jeunes ont terminé une formation pour acquérir des compétences pratiques et des capacités utiles aux petits entrepreneurs, et 1069 maîtres artisans ont bénéficié d’une remise à niveau de leurs compétences.
BURKINA FASO
  • De 2013 à 2018, 52737 jeunes non scolarisés ont bénéficié d’un emploi temporaire et de possibilités de formation professionnelle. Dans les douze mois qui ont suivi la fin de la formation, 40,2 % ont trouvé un emploi ou se sont installés à leur compte ; 2,2 millions de journées de travail ont été créées, favorisant ainsi la remise en état de 63,4 kilomètres de routes rurales et 51,9 % de routes urbaines. En outre, 37812 jeunes ont eu accès à des emplois grâce à des travaux à forte intensité de main d’œuvre.
RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE
  • De 2016 à 2018, 37000 personnes, dont 27 % de femmes, ont bénéficié de la création de 100830 journées de travail temporaire. Au total, 57 conduites de drainage ont été construites et 25 remises en état ; 12 ponts ont été remis en état et 63 kilomètres de rigoles construites le long des voies.
COMORES
  • De 2015 à 2018, 4217 personnes, dont 68 % de femmes, ont tiré parti de programmes « salaire contre travail», « vivres contre travail» et de travaux publics. 
  • De 2015 à 2018, un programme visant à mettre en place des dispositifs de protection sociale a généré 641456 journées de travail, 69 communautés pauvres ont eu accès à des services de protection sociale et de nutrition, et 106 techniciens de santé ont été formés à l’alimentation des nourrissons et des jeunes enfants.

CÔTE D’IVOIRE

  • En 2018, 53489 jeunes ont eu accès à un programme de renforcement des aptitudes à l’emploi, contre 25422 en 2014. Dans les six mois qui ont suivi la fin de la formation, 62 % ont trouvé un emploi ou se sont installés à leur compte.
  • En 2018, 10 433 jeunes ont eu accès à un programme de renforcement des aptitudes à la création d’entreprises, contre 11248 en 2015. 92 % d’entre eux ont achevé la formation, contre 76 % en 2016. Dans les six mois qui ont suivi la fin de la formation, 52 % ont trouvé un emploi ou se sont installés à leur compte ; 14959 jeunes ont eu accès à un programme de renforcement des aptitudes à la création d’entreprises, contre 11248 en 2015
The World Bank

L’IDA : des résultats

L’IDA, le fonds de la Banque mondiale pour les pays les plus pauvres, est l’un des principaux bailleurs d’aide au développement dans le monde. Ses financements soutiennent la santé et l’éducation, les infrastructures et l’agriculture, ainsi que le développement économique et institutionnel. 

SYSTÈME DE MESURE DES RÉSULTATS (a)